Caleb Elijah Steevens - La rue ça me connait que trop bien malheureusement (terminée)

Nom + Steevens. Prénoms + Caleb Elijah Surnoms + Aucuns âge + 18 ans Date de naissance + 09 avril 1998 Lieu de Naissance + Castle Hill dans le Bronx Nationalité + Américaine Origines + américaines Activité + Aucunes. Situation Financière + Pauvre Orientation Sexuel + Héterosexuelle Statut Civil + Célibartaire  Enfants + Aucun Date d'arrivé + 25/05/2016 Quartier résidentiel + écrire ici. Avec qui vivez-vous + Seul dans la rue pour le moment Groupe + Les resistants Avatar + Rayane Bensetti 


Pourquoi vivez-vous à Oxtown ? Aimez-vous cette ville +C'est là ou je vis enfin la ou la rue ou je dors se situeQuelle est votre plus grande peur et Quel est votre plus grand rêve + Souffrir à nouveat et avoir enfin une vraie famille aimanteSi vous pouviez revenir en arrière, que changez-vous + Avoir un caractère plus fort et evenir plus combattant. Ne pas aller chez les mêmes familles et me battre pour en trouver une bien. De quoi êtes-vous le plus fière + De mon chat Connor qui est toute ma vie et sans qui je ne serais rien

Je ne me sépare jamais de mon doudou+Mon chat est toute ma vie+J'aimerais plus tard travailler dans le dessin+ Ne dort jamais la porte ferméq1>+Je suis une vraie fée du logis+N'accorde pas de valeurs aux choses sauf son chat et son doudou+ A toujours fait attention à paraitre propre pour cacher ses blessures

Chapitre I- Origine
Je m'appel Caleb Tyler Stevens et je suis né le 9 avril 1998 à Castle Hill dans le quartier du Bronx. Je suis né d'un père et d'une mère comme chaque personne mais je ne les ai jamais connus ou presque. Le jour de ma naissance ma mère m'a abandonné et je devais naître sous X mais c'était sans compter sur mon père qui avait décidé d'assumer ma garde en tant que père biologique. Au moins, je n'aurais pas à être placer dans un orphelinat ont dit les infirmières mais elle n'aurait jamais pensé à ce qui allé se passer par la suite.

Chapitre II- Fin du bonheur
Mon père m'a élevé du mieux qu'il le pouvait avec le peu d'argent qu'il avait car on m'a dit qu'il était serveur dans un bar et que sa paie n'était pas des plus mirobolantes. À cette époque-là j'étais heureux et ça se voyait sur mon visage et comme toute personne sur terre, il aurait été bien que ça dure ainsi pour le reste de ma vie. Hélas, la vie en a décidé autrement et ma vie n'allait pas être de tout repos.

Chapitre III- Chamboulement
En effet, alors que j'avais trois ans mon père est décédé brutalement sans que j'en connaisse la cause. On aurait pu croire que ce jour-là serait le pire de ma vie mais par rapport à la suite ce jour-là était même un des plus joyeux car avant de mourir mon père m'avait dit à quel point il m'aimait et il m'avait offert un doudou en forme de chat dont j'ai toujours gardé avec moi contre vents et marrés. Ce doudou est très vite devenu mon meilleur ami et confident, celui à qui je parlais quand je me sentais seul. Heureusement que je l'avais et je m'étais promis de le garder pour la vie et de ne jamais m'en séparer. Peu importe ou j'irais, Connor mon doudou sera toujours avec moi.

Chapitre IV- Le début des ennuis
Suite au décès de mon père, je me retrouvais orphelin et surtout sans aucune famille car mon père était la seule qu'il me restait. À sa mort, je fus placé dans un orphelinat ou j'y restai moins d'un an avant d'être placé dans une famille d'accueil chez un couple qui ne pouvait pas avoir d'enfant. Le couple finira par se séparer deux mois après. Mon père a voulu obtenir ma garde mais le juge m'a placé chez ma mère. Sauf que petit à petit ma mère a plongé dans une grosse dépression. J'avais alors pour espoir de partir chez mon père mais celui-ci avait dit ne plus rien vouloir à faire avec ma mère et qu'il partait rejoindre l'armée pour aller combattre. Ma mère finira par se suicider en sautant du quatrième étage. Je me retrouvais à nouveau seul et je fus placer dans un nouvel orphelinat.

Chapitre V- Triste sort
J'avais à présent plus de 5 ans et j'étais toujours placé en orphelinat quand un nouveau couple m'adoptai. Je pensais que cette fois-ci j'aurais enfin une vie plus tranquille mais j'avais tout faux. J'avais attéri dans une famille qui n'avait que faire de ma personne. En réalité, je vivais seul dans l'étable au milieu de tout les animaux. Pour nourriture, je .n'avais le droit qu'aux restes que personne ne voulait et je pouvais passer du temps sans manger. Personne ne savait qui j'étais et certains ignoré même mon existence.

Chapitre VI- Désillusion
Lorsque j'eus 6 ans, je pensais que j'irais à l'école comme tous les enfants de mon âge pour enfin avoir une vie à peu près normal. Je me réjouissais d'aller à l'école pour apprendre plein de nouvelles choses en espérant rencontrer les personnes qui m'aiderait enfin à parler correctement mais surtout apprendre à lire et écrire car depuis tout jeune j'adorais déssinner tout un tas de choses et j'avais même déjà eu des envies d'écrire des histoires que j'avais créées dans ma tête. Sauf que dans cette famille pas d'école qui pour les adultes ne servait à rien et du coup je n'y mis jamais les pieds.

Chapitre VII- Un peu d'espoir
Cette époque a duré au moins deux ans avant la visite surprise d'une assistante sociale venue vérifiée ce qu'il en était suite à des plaintes anonymes. Mes parents adoptifs n'ont même pas cherché à se défendre. Je fus immédiatement retiré de leur garde. Je ne sais pas ce que le couple est devenu, je sais juste qu'il avait interdiction d'adopter des enfants à nouveau. En attendant de trouver une nouvelle famille, je fus placer chez une famille ayant l'habitude d'adopter des jeunes enfants. La femme était une ancienne secrétaire et le mari un professeur des écoles à la retraite. Le mari prit la décision de faire mon éducation. Voyant que je parlais mal, il fit tout son possible pour que je puisse parler le plus correctement possible. Ensuite, il se décida à m'apprendre mon alphabet et m'apprendre à compter et à lire heure avant de passer à la lecture et l'écriture malheureusement il n'eut pas le temps de le faire.

Chapitre VIII- Le travail
Je venais alors 8 ans quand on me trouvait enfin une famille d'accueil apte à me recevoir. Sauf que pas d'école non plus car la famille n'avait pas les moyens nécessaires pour m'y envoyer mais en revanche, je n'étais pas mal traité. Bien au contraire, vu que j'avais un lit et des repas chauds quotidien. Mes parents adoptifs attendaient de moi que je les aide dans les tâches ménagères, à faire le repas mais aussi à travailler dans les champs. C'est ainsi que j'ai appris à me débrouiller et seul et à faire moi-même les tâches ménagères même les plus ingrates.

Chapitre IX- Détour par la rue
Au bout de quatre ans la famille n'ayant plus d'argent dû pliait bagage pour rejoindre leur terre natale. Malheureusement, je ne fus pas du voyage et je du restais sur place. Au départ, je pus rester dans leur maison avant que la police vienne m'y expulser et de me retrouver à la rue. Je dus me mettre à faire la manche pour tenter de survivre mais j'eus de la chance car la Croix-Rouge américaine qui me trouvait en train de dormir en pleine rue et ils me prirent en charge en me plaçant dans un centre avec d'autres enfants de mon âge.

Chapitre X- Vie en communauté
J'ai alors douze ans et je pense que ma vie ne peut plus être pire mais j'avais tort. Le centre ne pouvait plus s'occuper de moi plus longtemps on réussit à m'envoyer chez un vieil homme riche qui n'avait jamais eu d'enfants et qui cherchait un héritier testamentaire. J'avais rapidement emménagé chez lui et pensais enfin avoir un peu de repos dans ma vie. Le centre n'avait pas fait de recherches suffisantes pour savoir ou j'allais atterrir car le vieil homme avait fourni un énorme chèque avec plein de zéros pour mon adoption. En arrivant sur les lieux je fus rapidement réduit à l'état d'esclaves avec d'autres enfants qui vivaient chez le vieil homme. Nous étions une dizaine et dormions tous dans la même chambre. Un jour alors que le vieil homme était malade et cloué au lit, deux jeunes en profitèrent pour s'enfuir et prévenir la police pour tous nous sauver.

Chapitre XI- Un peu de répit
La police peu convaincus des dires des jeunes hommes décident tout de même de faire une enquête au regard des blessures corporels sur les jeunes car oui nous étions régulièrement frappé. La police découvre avec effroi la terrible vérité. Le vieil homme est arrêté sur le champs puis condané à perpétuité tandis que moi et les autres jeunes furent placés dans des centres d'accueils et nous avions pas pu garder contact. Dans cet endroit, je fus soigné et on me remit sur pieds ayant été affaibli ces trois dernières années.

Chapitre XII- La vie dure
J'approche de ma seizième année quand je quitte le centre pour être placé dans une toute nouvelle famille avec deux garçons et une fille qui avaient environ mon âge à 4/5 ans près. Je fus ravi de cette nouvelle. Le couple était vraiment parfait et me nourrissait correctement. En revanche, les enfants étaient loin d'être des jeunes exemplaires. Les enfants n'étaient pas réellement ravis de ma venue dans la famille et ils ne m'accepteront jamais. Devant les parents ils ne disaient rien mais quand les parents n'étaient pas là, ils m'en faisaient voir de toutes les couleurs. J'étais leur souffre-douleurs, ils me frappaient, me faisaient boire tout un tas de choses, comme de l'alcool, de la pisse et ils me faisaient même manger des trucs inimaginables. Bien entendu, ils m'avaient condamné au silence sous peine de plus fortes sévices et de faire du mal à mon doudou. Avec eux, il ne valait mieux pas plaisanter car le plus âgé des frères n'hésiterait pas à se servir d'un coup et il était très habile pour l'avoir déjà vu à l'oeuvre.

Chapitre XIII- Sauvetage
Un jour, alors que les enfants me torturaient les parents sont rentrés plus tôt que prévu et personne n'avait rien entendu. Lorsqu'ils ont vu la scène, les parents sont restés médusés et le père est entré dans une colère noire. Je ne voulais rien dire par peur des représailles mais les parents m'ont forcé à tout avouer devant les enfants qui n'ont eu d'autres choix que de confirmer ce que je disais. Les parents furent sous le choc et m'emmenèrent à la police pour que je puisse porter plainte. Le procès fut long et éprouvant. Les jeunes écopèrent chacun d'une lourde amende avec des travaux d'intérêt généraux. Pendant la durée du procès je ne suis pas autorisé chez la famille mais je suis placé chez mon avocat qui veux s'assurer de ma protection et être sûr que je sois présent jusqu'à la fin du procès.

Chapitre XIV- Retour à la case départ
Le procès vient de se terminer et je viens tout juste d'avoir dix-sept. Le juge ne réussit pas à me trouver de famille d'accueil ni de logement. Il décide de me placer dans un centre spécialisé pour les gens dans ma situation. Dans ce centre, on ne peut juste m'offrir un repas chaud le soir et un lit de camp pour dormir mais cette situation est temporaire selon la loi. Au bout de deux mois, le centre a fermé ses portes et je me retrouvais à la rue tel un SDF et cette fois-ci, je savais que la situation ne serait pas temporaire. Pour survivre je dus me débrouiller seul et trouver moi-même de quoi manger en fouillant les poubelles ou en refaisant la manche. À mes débuts dans la rue, j'ai adopté un chat mâle qui trainait dans la rue sans foyer, je le prénommais Nuage. Lui et moi étions rapidement devenus les meilleurs amis du monde. J'étais plus que seul au monde sans personne sur qui compter sauf des camarades d'infortune qui eux aussi vivaient dans la rue.

Chapitre XV- Accalmie
Je vis toujours dans la rue depuis 10 mois. Malgré tout, je ne me sépare jamais de mon chat ni de mon doudou. Je fais la manche tous les jours pour gagner de quoi me payer de quoi manger mais cela n'est pas tous les jours faciles et je meurs souvent de faim sans que je puisse y faire quoi que ce soit. Quand je vois un groupement de gens dans la rue, je m'en éloigne au plus vite car je déteste la foule, il en va de même pour les endroits isolés. je suis agoraphobe. J'ai toujours eu une vie difficile mais au fond de moi j'ai comme une furieuse envie de me battre pour tenir le plus longtemps possible parce que je me refuse à mourir.

Épilogue
Je viens à peine de fêter mon dix-huitième anniversaire et je suis toujours SDF malgré moi. Il y a deux jours, j'ai fait un malaise en pleine rue. Mes camarades d'infortunes appelèrent immédiatement les pompiers qui me conduisirent à l'hôpital pour me soigner. Le verdict est tombé je souffre de mal nutrition et de carences. Je mesure 1m68 pour 40 kg et mon état est jugé préoccupant surtout qu'ils ont découvert que j'avais de graves problèmes respiratoires. Ce n'est pas cancer mais je dois surveiller ça de près car mes poumons sont touchés. Le problème c'est que je n'ai pas de papiers ni de sécurité sociale et du coup l'hôpital ne peut rien faire pour me soigner. Les infirmières me raccompagne hors de l'hôpital après m'avoir offert un dernier repas chaud. Me voilà donc devant l'hôpital seul au monde et une fois de plus livré à moi-même.

Je peux enfin te valider

Tu peux dès à présent découvrir les merveilles que renferme le forum ainsi que sympathiser et délirer avec les autres membres si ce n'est pas déjà fait ! Cependant afin de ne pas te lâcher complètement dans la nature, voici quelques liens qui te permettront de t'y retrouver ! Tout d'abord si tu ne l'as pas encore fait, je te conseille d'aller jeter un petit coup d'oeil au règlement, c'est toujours bien de savoir à quoi on a à faire ! Ensuite nous pensons que tu ne vas pas vivre sous les ponts, donc files faire une demande de logement et après va recenser ton métier. C'est toujours bien de savoir où notre personnage va travailler ! D'ailleurs si tu as besoin d'un baby-sitter, d'un colocataire ou que sais-je encore, tu peux faire un tour aux petites annonces, ça peut être très utile !

Mais bon je suis sûre que tu es surtout impatient(e) de créer ta fiche de liens pour te faire des amis ! Sur, CYD nous avons mis en place deux fiches de liens, il y en a une bien détaillée et l'autre un peu moins, nous espérons que cela aidera dans la recherche de liens.. D'ailleurs il se peut que tu ais besoin de personnes particulière, comme ta moitié ou ta grande tante qui fume comme un pompier ? Il faut les créer dans les scénario en construction et une fois fini tu n'auras qu'à me le faire savoir pour que je puisse mettre ton scénario au bon endroit. Penses aussi à avoir le bon nombre de point car si tu crées un scénario, 50 points te sont enlevé. Si tu n'as pas forcément besoin de créer un scénario, mais il faut absolument que ton patron pervers ou que la belle-soeur de ton meilleur ami débarquer, c'est un lien prédéfini qu'il faut que tu crées. Dans tous les cas, j'espère qu'ils seront pris bientôt ! Après si l'envie de RP est présente je t'invite aussi à aller dans ce sujet. Tu pourras peut-être trouver des personnes qui ont besoin d'un partenaire ou tu peux aussi en demander un ! Ensuite, quand tu auras des rps par milliers, pour ne pas les oublier, tu peux les mettre dans ton profil. Sinon tu peux les poster dans les Topics. Que te dire d'autre ? Je te recommande vivement le flood où l'on s'amuse comme des petits fous & de passer sur la ChatBox pour rigoler un petit peu ! Sinon pour toutes tes demandes, de lieux ou de rang c'est à la préfecture qui faut se rendre. Surtout, n'ais pas peur de faire le petit curieux et va voir un peu partout dans le forum.