Zoelya ☕ I'll be needing stitches

Nom + Nightingale, c'est le nom de ma famille adoptive. Prénoms + Zoelya Sélène. Surnoms + Zoe, Zozo. âge + 28 ans. Date de naissance + 20 mars 1988. Lieu de Naissance + Seattle, c'est ce qui est marqué sur mon certificat de naissance. Nationalité + Américaine. Origines + Je ne sais pas, je ne connais pas ma famille biologique. Activité + Pédiatre depuis quelques mois, j'ai enfin fini mes études. Situation Financière + Assez aisé. Orientation Sexuel + hétéro. Statut Civil + célibataire. Enfants + Non. Date d'arrivé + aout 1991. Quartier résidentiel + Le centre ville. Avec qui vivez-vous + Seule . Groupe + Les indécis. Avatar + Camilla Luddington


Pourquoi vivez-vous à Oxtown ? Aimez-vous cette ville + Je suis arrivée à Oxtown quand j'avais trois ans, donc autant vous dire que je ne l'ai pas choisi. C'est une décision de mes « parents » car mon père s'est fait muté. Sinon, j'adore cette ville, elle m'a vue grandir et évoluer, tous mes souvenirs sont ici -bon, je l'ai un peu fuis quand je suis partie à Seattle, pour mes études- mais j'ai décidé de revenir il y a un an, car je m'ennuyais, ici c'est chez moi.Quelle est votre plus grande peur et Quel est votre plus grand rêve + Ma plus grande peur, c'est de perdre quelqu'un que j'aime encore une fois. Je sais que cela arrivera malheureusement, j'ai déjà perdu mon père il y a quelques années, mais je ne veux pas que cela recommence. Cela fait beaucoup trop mal. Mon plus grand rêve c'est de fonder une famille dans quelques années. J'ai déjà réalisé un de mes rêves, celui de devenir pédiatre, après c'est une suite logique, mais je suis un peu trop jeune et trop instable pour le moment. Si vous pouviez revenir en arrière, que changez-vous + Malheureusement, on ne peut rien changer, même si j'aimerai changer certaines choses de mon passé, c'est certain. Je pense que j'en aurais fait un peu plus voir à mes parents car ils n'ont pas hésité à me mentir pendant plus de 26 ans. Et peut-être que j'aurais dû découvrir la vérité avant, j'aurai dû poser des questions plus tôt, mais avec des si, on referait le monde n'est-ce pas ? De quoi êtes-vous le plus fière + Je suis fière de m'être accroché à mon rêve pendant pratiquement 10 ans. 10 ans que je travaille énormément, je ne peux pas compter les heures que j'ai passé à la bibliothèque ou chez moi pour étudier. Ce fut très dur, j'ai dû faire des choix, j'ai sacrifié ma vie personnelle pour ma vie personnelle, mais j'y suis arrivée. Je suis là, avec ma blouse entrain d'ausculter des bébés et m'assurer que tout va bien.

Zoelya est souvent positive, surtout quand elle s'occupe des enfants, elle est très souriante (sauf en ce moment). + Elle est accro au café, au chocolat et à son chien. + Elle aime beaucoup sortir, s'amuser, elle en profite avant de se poser et parce qu'elle n'a pas pu le faire lors de ses études. + Elle garde un médaillon que sa grand-mère paternelle lui a offert, elle joue avec quand elle est stressée. + Tout le monde sait quand elle est contrariée, elle boude. + C'est une fille pétillante, un peu énervante sur les bords mais qui reste quand même au service des autres. + Elle vient d'apprendre qu'elle a été adoptée, elle en veut énormément à sa famille, elle est complètement perdue et ne sait plus à qui faire confiance.

Il y a deux semaines.
Il est 23 h 30, c'est la fin de mon service. Je vais me changer, je suis très stressée. Je troque ma blouse contre un jean et un t-shirt avec une petite veste. Je range toutes mes affaires puis, je passe dire au revoir à mes collègues et aux bébés que je surveille. Pour une fois, je traîne un peu , car je n'ai vraiment pas hâte de rentrer chez moi. J'ai peur du résultat du test de paternité que j'ai envoyé au labo, il y a un peu plus de deux semaines. L'attente est longue, très longue, même insupportable. Je reprends ma voiture et je conduis en pilote automatique, je n'ai pas fait vraiment attention à la route. Arrivé devant mon immeuble, j'inspire doucement et je pose ma tête contre la voiture. Est-ce que j'ai vraiment envie de savoir? Je parviens à descendre de la voiture et je passe par ma boite à lettres, mon cœur bat à toute vitesse, j'ai un peu de mal à respirer. Je cherche dans mon courrier et la lettre que j'attends est enfin là. Je sens encore plus mon cœur se serrer. Il faut que je sache. 
Je passe enfin la porte de mon appartement et je décide de savoir. Mon chien me fait la fête et je lui donne à peine une caresse. Un élan de courage s'empare de moi et j'ouvre la lettre rapidement, sachant que cet élan va disparaître d'une seconde à l'autre. Je ne regarde pas le haut, je cherche le résultat le plus vite possible, mais en voyant la réponse, mon visage se décompose, la lettre tombe de mes mains, la seule question qui me vient en tête est: qui suis-je ?


Je ne comprends pas, non, je revois encore ma mère me parler du jour de ma naissance. Je suis née le 20 mars 1988 à Seattle, ma mère me racontait qu'elle avait souffert pendant plus de 8 heures et que je n'étais pas pressée pour sortir et que mon père a failli louper l'accouchement. Elle avait toujours ce petit sourire ému lorsqu'elle me racontait cela. Son visage s'assombrissait, mais je pensais qu'elle était triste parce que je n'étais plus ce si petit bébé qu'elle me décrivait. Et puis surtout, il y a les photos dans l'album de famille.
Je me souviens encore lorsqu'elle racontait mes premiers pas, quand j'ai prononcé maman ou papa pour la première fois ou que j'ai mangé toute seule comme une grande et qu'elle a pris une photo pour l'album de famille, ou lorsque j'ai avalé le jouet de mon frère par erreur, toutes ces choses qu'elle m'a raconté et qui avait l'air si réelle. On aurait vraiment dit qu'elle les avait vécu et que c'était avec moi.

Je n'ai aucun souvenir de Seattle, car on a déménagé lorsque j'avais 3 ans, en août 1991 à Oxtown pour le travail de mon père. C'est à partir de cette période là où j'ai encore de vagues souvenirs. Ma mère m'a toujours protégé ; un peu trop, elle est toujours derrière mon dos tandis que mon frère était indépendant, en même temps c'était l'aîné et le garçon. Je me rappelle que je prenais un malin plaisir à l'embêter, à le rendre fou tout simplement, comme une petite sœur adore faire à son grand frère adoré. J'adorais entraîner ma petite sœur dans mes bêtises aussi.Petite, je ne tenais pas en place. J'avais du mal à rester à la même place pendant trois heures et j'adorais faire des bêtises. J'étais souvent punie, je connaissais le coin du mur par cœur, mais je m'intéressais à tout. Tout pouvait me captiver, ce qui était une bonne ou une mauvaise chose. Ma mère devait souvent courir derrière moi, mais j'étais vive d'esprit et j'avais déjà du répondant. Ma mère m'étouffait à être toujours derrière mon dos et mon père, je ne l'ai pas beaucoup vu malheureusement, il était trop occupé par son travail. J'étais toujours là à réclamer son attention, mais cela ne fonctionnait pas toujours. A cette époque là, je voulais déjà travailler avec les bébés, je voulais m'en occuper toute la journée. Je me trimbalais toujours avec un poupon et je lui donnais à manger, je le soignais. A neuf ans, j'ai annoncé à mes parents que je serais pédiatre et que je soignerai les bébés, comme le médecin qui s'occupait de moi lorsque j'allais à l’hôpital pour faire un contrôle de routine.

Adolescente, j'avais un sacré caractère. Ma mère est toujours sur mon dos, elle me met beaucoup de pression pour mes études. Elle regarde mes fréquentations, elle m'interdit beaucoup de choses alors que mes amis eux, ont le droit. Je trouve cela injuste et je ne me laisse pas faire. On se hurle dessus, souvent. Je lui demande de me laisser vivre, elle me demande de l'écouter. Mais elle ne se rend pas compte qu'elle m'étouffe à ne jamais me laisser faire quelque chose moi-même. Mon père intervient souvent, il essaie de calmer le jeu, mais c'est un peu compliqué, je suis têtue et elle aussi. Le dialogue est vraiment difficile.

Les deux dernières années n'ont fait qu'empirer et elle me mettait de plus en plus la pression, que je supportais très mal. Alors, je faisais tout pour la rendre folle. Je traînais avec des gens pas forcément fréquentable, j'enchaînais les soirées. J'avais des facilités pour apprendre, mais ça se ressentait légèrement dans mes notes. J'étais en tête de classe, mais je n'étais pas la première. Donc, c'était la guerre. Un bras de fer interminable pendant deux ans. Il était hors de questions que je cède, mon père s'en mêlait lorsque j'allais trop loin et j'étais souvent privée de sortie. Je ne me rendais pas compte que j'aurais pu passer à côté de tout, que je n'aurais pas pu être pédiatre. Je ne comprenais pas la pression qu'elle mettait sur moi. Elle n'en avait pas demandé autant à Lukas, alors je trouvais injuste qu'elle me demande la lune. C'est elle qui m'a fait fuir. Lorsque j'ai eu mon diplôme, j'ai décidé de partir vivre loin, là où j'aurai enfin la paix -que mes parents soient d'accord ou pas- je suis partie à Chicago, pour mes études de médecine.

J'ai passé quasiment 6 ans à Chicago. Je me suis installée dans un petit appartement près de la fac de médecine et j'y ai passé mes plus belles années. J'ai bossé comme une folle, j'ai pleuré, j'ai dansé de joie, j'ai été bourré comme jamais, j'ai soigné des petits enfants. C'est ici que j'ai rencontré ma meilleure amie, qui était aussi folle que moi pour s'engager dans des études de droit. Elle vivait quasiment chez moi, je vivais quasiment chez elle, on faisait tout ensemble, des sœurs jumelles. Heureusement qu'elle a été là quand mon père est décédé car ce fut très dur comme étape. D'habitude je revenais pour Thanksgiving ou pour Noël, mais c'était différent. Mon père est mort et j'ai dû l'enterrer, on ne partageait pas une relation fusionnelle, mais les rapports avec mes parents se sont apaisés au fur et à mesure, j'ai mûri et j'aimais mon père. J'ai épaulé ma mère comme je le pouvais. Je devais être la plus forte, pour aider tout le monde, aider ma sœur. J'ai perdu une des personnes que j'aimais le plus. J'ai eu du mal à m'en remettre, en plus, ma famille était loin de moi. Mon frère était déjà soldat, et j'avais encore plus peur pour lui. Elle a été un vrai repère pour moi. Je n'ai pas pu vraiment compter sur les mecs qui ont partagé ma vie. Il y en a eu quelques-uns, mais j'ai un problème avec l'engagement. Ca me fait peur, ça me fait fuir. J'avais rencontré un superbe futur chirurgien, qui a fait son internat dans le même hôpital que moi, il était parfait, il était magnifique, mais dès qu'il a commencé à parler de projet, je me suis cassée. Il ne m'a pas laissé assez de temps. Ma meilleure amie m'a réconforté, mais elle ne m'a pas compris.  « Il était parfait pour toi Zo', je l'aurais épousé à ta place ! Il était canon, il t'aimait à la folie ! » elle avait squatté mon lit et me foutait des coups d'oreillers et elle me sautait dessus. « Va-t-en, laisse-moi déprimer dans mon coin, tu veux bien? » je soupire et je ne bouge pas. « Jamais vieille branche, lève-toi ! On sort ! » elle était comme ça, pétillante et folle. Je ronchonnais, mais elle me tirait déjà le bras, elle tirait tellement fort qu'elle était capable de me déboîter le bras.

Mais, la ville où j'ai grandi me manquait. Oxtown me manquait, j'ai regardé pendant plus d'un an si une place ne se libérait pas à l'hôpital d'Oxtown et j'ai donc fait ma dernière année là-bas. Je n'ai pas pu embarquer ma meilleure amie, qui s'était mis en ménage avec son copain. Elle s'est même fiancée le soir où je suis partie. J'étais ravie pour elle, moi je rentrais chez moi, j'ai dû très vite me trouver un logement, puisque ma mère était partie 6 mois auparavant au Canada. On n'avait plus notre maison. Mais je suis revenue, je me suis rapprochée de ma sœur, elle m'en a voulu d'être partie, ce qui est normal. Mais ça fait un an et demi que je suis là et je suis très contente. Il y a 4 mois, j'ai fini mes études et l'hôpital m'a proposé le poste de la pédiatre qui part en retraite dans 3 mois. J'ai accepté. Je suis ravie, une nouvelle page s'était tourné, j'étais heureuse, tout simplement.


Bien sûr, la vie n'est pas un long fleuve tranquille. Il y a un mois, une de mes cousines était malade et les médecins avaient besoin de nous pour la soigner. Toute la famille a passé des tests. Tout le monde a été compatible, sauf moi. Je n'ai pas compris, j'ai regardé encore et encore, mais il n'y avait pas d'erreur possible. J'ai su que ma mère a eu une liaison, je ne sais pas quand cela a commencé ni combien de temps cela a duré, mais je n'étais pas la fille de mon père, mort, c'est une certitude. J'ai profité du passage de ma mère pour faire un test, voir si elle était ma mère, mais les résultats sont tombés et apparemment, je ne suis pas sa fille, ni celle de l'homme qu'on m'a toujours présenté comme mon père. J'ai la rage, j'ai besoin d'explications.

Petite soeur !!!
Est-ce que je dois dire que j'aime ta fiche ? Car c'est trop le cas J'adore ce que tu as fait de Zozo et j'aime ta manière d'écrire, j'ai vraiment hâte de pouvoir rp avec toi petite Lya Vive les Nightingale Vive Zokas  

Tu peux dès à présent découvrir les merveilles que renferme le forum ainsi que sympathiser et délirer avec les autres membres si ce n'est pas déjà fait ! Cependant afin de ne pas te lâcher complètement dans la nature, voici quelques liens qui te permettront de t'y retrouver  ! Tout d'abord si tu ne l'as pas encore fait, je te conseille d'aller jeter un petit coup d'oeil au règlement, c'est toujours bien de savoir à quoi on a à faire ! Ensuite nous pensons que tu ne vas pas vivre sous les ponts, donc files faire une demande de logement et après va recenser ton métier. C'est toujours bien de savoir où notre personnage va travailler ! D'ailleurs si tu as besoin d'un baby-sitter, d'un colocataire ou que sais-je encore, tu peux faire un tour aux petites annonces, ça peut être très utile !

Mais bon je suis sûre que tu es surtout impatient(e) de créer ta fiche de liens pour te faire des amis ! Sur, CYD nous avons mis en place deux fiches de liens, il y en a une bien détaillée et l'autre un peu moins, nous espérons que cela aidera dans la recherche de liens.. D'ailleurs il se peut que tu ais besoin de personnes particulière, comme ta moitié ou ta grande tante qui fume comme un pompier ? Il faut les créer dans les scénario en construction et une fois fini tu n'auras qu'à me le faire savoir pour que je puisse mettre ton scénario au bon endroit. Penses aussi à avoir le bon nombre de point car si tu crées un scénario, 50 points te sont enlevé. Si tu n'as pas forcément besoin de créer un scénario, mais il faut absolument que ton patron pervers ou que la belle-soeur de ton meilleur ami débarquer, c'est un lien prédéfini qu'il faut que tu crées. Dans tous les cas, j'espère qu'ils seront pris bientôt ! Après si l'envie de RP est présente je t'invite aussi à aller dans ce sujet. Tu pourras peut-être trouver des personnes qui ont besoin d'un partenaire ou tu peux aussi en demander un ! Ensuite, quand tu auras des rps par milliers, pour ne pas les oublier, tu peux les mettre dans ton profil. Sinon tu peux les poster dans les Topics. Que te dire d'autre ? Je te recommande vivement le flood où l'on s'amuse comme des petits fous & de passer sur la ChatBox pour rigoler un petit peu ! Sinon pour toutes tes demandes, de lieux ou de rang c'est à la préfecture qui faut se rendre. Surtout, n'ais pas peur de faire le petit curieux et va voir un peu partout dans le forum.