Mila + Dans l'infini, il y a toujours certaines étoiles qui attirent plus que d'autres.

Nom + Kavanagh Prénoms + Mila Surnoms + Je ne suis pas une grande fan des surnoms, mais surprenez-moi ! âge + 34 ans Date de naissance + 25 août 1981 Lieu de Naissance + New-York Nationalité + Américaine Origines + Américaines Activité + Pâtissière Situation Financière + Aisée Orientation Sexuel + Hétérosexuelle Statut Civil + En couple  Enfants + Aucun Date d'arrivé + Le 7 septembre 2015 Quartier résidentiel + Le Centre Ville Avec qui vivez-vous + Avec Pancake, ma lapine Groupe + Les Indécis Avatar + Rachel Bilson


Pourquoi vivez-vous à Oxtown ? Aimez-vous cette ville + Je suis venue vivre à Oxtown car je cherchais à ouvrir ma propre pâtisserie, et c'est Lukas qui m'a suggéré de l'ouvrir à Oxtown. Malgré mon amour pour la grosse pomme, je n'ai pas hésité longtemps avant de me décider à venir le rejoindre ici. Et je dois dire, je ne regrette pas du tout mon choix. La ville est très agréable et j'ai tout ce dont j'ai besoin pour m'épanouir, ici. Même s'il m'arrive d'être nostalgique de New-York. Quelle est votre plus grande peur et Quel est votre plus grand rêve + Ma plus grande peur serait de perdre les gens que j'aime. Qu'il s'agisse de ma mère, de Ray, d'Ally ou de Lukas. Je ne sais pas ce que je deviendrais sans eux. Le problème de cette peur là, c'est que tôt ou tard, les gens que l'on aime doivent partir. Certains plus tôt que d'autre, mais tout le monde part un jour. Et mon plus grand rêve est celui de fonder une famille. C'est très bête comme rêve, certains dirons que je n'ai aucune ambition, mais je me fiche de ce que pense les autres, c'est le miens. Si vous pouviez revenir en arrière, que changez-vous + Je ne sais pas exactement ce que je changerais précisément si je pouvais revenir en arrière.  Mais une chose est sûr, je referais les choses différemment afin de ne pas réitérer mes erreurs. De quoi êtes-vous le plus fière + Ma plus grande fierté, c'est d'avoir suivi les traces de Ray en devenant pâtissière et en reprenant son affaire. Je sais que mes parents voulaient que je suive leur trace, mais je ne me suis jamais vue en train de vendre des maisons à de riches étrangers qui ont déjà des maisons dans les quatre coins du monde.

Une fois que j'ai réussi à m'échapper de mon lit, (car il est évident que c'est ma couette qui me retient en otage) je fonce dans ma cuisine pour boire un bon café. Tant que je n'ai pas bu ce breuvage, il est inutile de chercher à avoir la moindre conversation. Je ne suis pas du matin, et je vous enverrez promener + J'ai un véritable problème avec les chaussures. J'en ai des tonnes ! Mais je n'en aurais jamais assez + J'adore passer une petite soirée dans mon canapé à regarder des séries, des films d'amour, ou des Disney, avec un plaid tout doux, une infusion aux fruits rouges et des bêtises à grignoter + Ma saison préférée est l'automne, j'aime ses couleurs + J'aime la science-fiction et faire une partie de jeux-vidéo de temps en temps.

New-York, août 1981 – Je suis née par une belle journée ensoleillée d'après mes parents Carol et Ethan. Ils décident de me donner le prénom de Mila. Mon papa est un chirurgien de renomée mondiale, et ma maman est agent immobilier. Tous les deux très pris par leur métier, c'est ma gouvernante qui m'a élevée. Elle était très gentille avec moi et elle se comportait comme une deuxième maman. J'ai donc grandit dans une famille qui avait les moyens de m'offrir tout ce dont j'avais besoin, ou envie. Mais contrairement à ce que tout le monde pensaient, je ne suis jamais devenue égoïste ou capricieuse. J'ai toujours été prête à partager avec les autres enfants, toujours joyeuse, j'étais tellement contente quand il y avait du monde à la maison, car à part les "domestiques" et moi, il n'y avait personne.

New-York – septembre 1987 – J'ai six ans. Et je ne vois plus mon papa. Il ne vit plus à la maison avec maman et moi. Un jour alors qu'il rentrait du travail, maman et lui se sont disputés. Je me suis alors réfugiée dans ma chambre pour ne pas avoir à entendre leur dispute, les larmes aux yeux, doudou contre moi, je compris. J'étais en train de pleurer toutes les larmes de mon corps sur ma peluche quand ma porte s'ouvrit sur mon père, l'expression de son regard m'a permis de comprendre qu'il était triste, mais aussi en colère. Contre maman sûrement. Il m'a pris dans ses bras et m'a expliqué qu'il devait partir loin pour le travail. Je ne me souviens plus du nom du pays. Mais il m'a dit que lorsqu'il reviendrait, nous pourrons à nouveau être ensemble. Je ne savais pas que le temps serait si long avant de le revoir.

New-York – mai 1991 – Le nouvel ami de maman est venu vivre avec nous. Il s'appelle Ray et il est très gentil avec moi. Je l'aime bien, je suis contente qu'il soit là pour s'occuper de moi. C'est maman qui m'emmène à l'école le matin et c'est lui qui vient me chercher le soir. Et on va à la pâtisserie où il travail. J'aime bien cet endroit, ça sent le sucre, le chocolat, les fruits secs aussi, et il m'apprend à faire plein de gâteaux différents que j'ai le droit de manger le soir après le dîné.

New-York – août 1997 – Dans quelques jours, j'aurais seize ans. Et je repense à l'époque où Ray était encore avec nous. Maman et lui se sont séparés il y a un an. Mais je ne l'oublie pas, il reste pour moi, mon véritable père. Puisque je n'ai toujours pas de nouvelles de mon père biologique. Je suis devenue une adolescente assez dévastatrice, je fais pas mal de bêtises avec mes amis. Notamment avec mon meilleur ami pour qui j'éprouve des sentiments qui dépassent ceux de la simple amitié. C'est d'ailleurs avec lui que je vais vivre ma première fois lors de ma fête d'anniversaire. Sauf que la suite ne se passe évidement pas comme je l'aurais voulu. Il m'annonce quelques jours après qu'il vient de se mettre en couple avec une des filles les plus populaires du lycée. Il me brise alors le cœur. A la suite de cette nouvelle, j'ai coupé les ponts avec lui, je ne voulais plus le voir. J'ai ensuite complètement déraillé. Je me suis trouvée un nouveau groupe d'amis, mais pas le genre que l'on présente à ses parents et lors d'une soirée très alcoolisée, nous avons eu un accident de voiture. Transportée à l'hôpital en urgence, je tombe dans le coma pour quelques jours. Provocant ainsi une grosse frayeur à ma mère qui décide d'appeler mon père biologique pour l'informer de mon état de santé. Étant médecin, il accourt presque après dix ans de non existence et choisi de venir le jour de mon réveil, alors que Ray est là, auprès de moi depuis mon accident. Une grosse dispute éclate dans ma chambre, à bout de force et de patience envers Ethan, je prends la défense de Ray. Mon géniteur déclare alors qu'il ne reconnaît plus sa petite fille, que je ne suis plus rien pour lui et qu'il ne reviendra plus jamais. A ma sortie de l'hôpital, je décide de me reprendre en main, de terminer mes études et rendre Ray fier de moi.

New-York – le juin 1999 - J'obtiens mon examen haut la main alors que j'ai dix-huit ans et Ray m'aide à décrocher un stage dans l'une des meilleures pâtisseries Françaises. Sans me poser de questions, j'accepte cette occasion en or de me perfectionner, je fais mon sac et je m'envole pour la capitale Française où je vais partager mon temps de travail entre la pâtisserie et des cours de français dans un établissement.

Paris – mars 2002 – Ça fait trois ans déjà que je vis à Paris. Contre toute attente, moi qui étais nulle en langues étrangères, je parle à merveille le français. Je n'ai pas tout à fait envie de me poser avec quelqu'un pour le moment. Surtout parce que je sais que je ne vais pas rester ici toute ma vie, je compte bien rentrer à New-York afin de filer un coup de main à Ray en prenant la suite de son affaire. Il est ravi et il sait que je ferais du bon travail. J'ai aussi fait la rencontre d'Ally. Nous suivons les mêmes cours de français et depuis quelques temps, je n'arrive plus à la quitter. Je crois que je peux dire que j'ai trouvé en elle, une meilleure amie.

New-York – octobre 2005 – Je suis de retour dans ma ville natale. Sauf que maintenant, j'ai vingt-quatre ans et que je suis toujours célibataire, je suis sortie avec quelques hommes à Paris, mais rien de sérieux. Mais maintenant que je suis de retour et que je ne compte pas partir, j'ai envie de commencer une histoire avec quelqu'un de bien. Je décide donc de m'inscrire sur un site de rencontre. Entre ceux qui ne sont là que pour le sexe et ceux qui veulent que je leur fasse un enfant après trois rendez-vous, je suis tombée sur une personne extraordinaire : Lukas. Quand il m'a annoncé qu'il n'était pas seulement infirmier, il a attiré ma curiosité, mais j'étais loin de me douter, qu'il était aussi un soldat de l'armée américaine. Et là, tout s'effondre pour moi. Je ne suis pas le genre de fille qu'on dit forte. J'ai besoin de quelqu'un qui soit auprès de moi. Et je savais pertinemment, qu'à chaque fois qu'il devrait partir sur le terrain, je passerais ma vie à m'inquiéter et que ça finirai par me détruire totalement. Je ne pu me résoudre à commencer une quelconque histoire. Nous sommes donc restés de simples amis. Nous sommes restés en contact, mais nous n'avions jamais le temps pour nous voir réellement. Quand il avait des permissions, il n'était seulement que de passage, le temps nous manquait cruellement. Puis un jour, je lui ai fait part de mon envie de lancer ma propre affaire, dans une nouvelle ville. Il m'a proposé Oxtown en plaisantant, mais l'idée de pouvoir passer du temps avec lui m'a plu, du coup, après quelques mois de préparation, me voilà prête à commencer une nouvelle aventure.

Oxtown – septembre 2015 – Lukas a promis de venir m'accueillir à l'aéroport. Nous allons enfin nous rencontrer pour de vrai après tant d'années à discuter en ligne. J'ai un petit coup de stress quand l'avion se pose sur la piste. Notre première vraie rencontre en dix ans. C'était quelque chose de très fort. Mais c'est tout à fait ce à quoi je m'attendais. Et à cause d'une mauvaise organisation des anciens locataires de mon appartement, j'ai même eu la chance de devenir ta colocataire pendant un temps. Mais début décembre, j'ai commencé à réaliser que je l'appréciais plus qu'un simple ami. Et alors que j'étais en train de lui taper une sorte de crise de jalousie à propos de Rose, il m'a embrassé. Et je n'ai pas su quoi lui répondre. J'étais totalement perdue et du coup, je l'ai rejeté. Suite à cela, le silence le plus total. Il a disparu de la circulation.

Oxtown - février 2016 - La nouvelle année est passée et toujours pas de nouvelles de Lukas. Quand il a enfin réapparu, nous avons eu une discussion. Et elle c'est terminée par la création de notre couple. Mais notre petit nuage de bonheur ne fut que de courte durée, puisque lors de notre première sortie officielle, il a reçu un appel que je redoutais, il devait repartir en mission. Le laisser partir était terriblement dur, et les premiers jours sans lui fut encore pire. Mais aujourd'hui, cela fait quelques mois qu'il est sur le terrain, nous restons un minimum en contact et ça me rassure pas mal. Peut-être que je pourrais me faire à son métier. L'avenir nous le dira.