JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent.
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Jared F. Kloss
❝ Messages : 122 ❝ Points : 95 ❝ A Oxtown depuis le : 19/06/2016❝ Age : 36 ❝ Cupidon : Amour éphémère; 10 ans réduits en cendres. Alors, arrête de viser la lune Cupidon, tes flèches atteignent les avions. ❝ Enfant : Conception impossible depuis un dépistage ❝ Habitation : Southwood n°131 ❝ Avatar : Julian Schratter ❝ Crédits : mistakenQUEEN
Sujet: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Dim 19 Juin - 18:38
Jared Feliciano Kloss
Nom + Kloss, le genre typique de nom qui est galère à faire écrire par quelqu'un qui fait genre qu'il gère sur l'orthographe alors qu'il ne connaît pas toutes les nuances inimaginables et possibles. Not close enough; try again. Prénoms + Jared Feliciano, merci les grands parents maternels mexicains pour la touche exotique. Surnoms + Jafe, Le President âge + 28 ans Date de naissance + 18 Juin 1988 Lieu de Naissance + Miami, Floride Nationalité + Américaine Origines + 65% Américaines, 25% Mexicaines, 10% Austro-hongroises Activité + Ancien dealer (Miami) et professeur de baseball à l'université (Connecticut) Situation Financière + Encore raisonnable après avoir dû débourser quelques dizaines de milliers au cours des derniers mois pour des frais divers (enterrement, justice). Orientation Sexuelle + Libertin hétérosexuel qui se laisse parfois séduire par les hommes Statut Civil + Veuf Enfants + Infécond Date d'arrivé + Printemps 2016 Quartier résidentiel + Southwood Avec qui vivez-vous + mon âme en peine et ma batte de baseball Groupe + les Résistants Avatar + Julian Schratter
Pourquoi vivez-vous à Oxtown ? Aimez-vous cette ville + Oxtown c'est l'inconnue, c'est le néant dans lequel on se retrouve. C'était déjà le cas à Killingly avant que je n'y rencontre Reb's. Sauf que je sais que je ne retrouverai pas tout le bonheur qui s'est mis sur ma route quand j'ai débarqué dans le Connecticut à mes 18 ans. Il n'y aura plus rien de semblable, dans aucune ville. on ne peut pas aimer une ville; ce n'est pas la ville qu'on aime. Mais la vie qu'on y construit. Mon palace s'est effondré. Aucune ville n'est belle. Juste des vies. Celle que j'ai vécue avec Reb's avant sa mort, il y a quelques mois. J'en pouvais plus, avec ce procès qui a commencé à me coller au cul. ils m'avaient dit de rester à disposition des instances le temps de l'enquête. J'en avais rien à foutre, j'ai remis ma démission à l'université et j'étais prêt à prendre un vol pour l'Europe. Je voulais ainsi rejoindre Rebekkah, mais quelque chose m'en a empêché avant d'arriver à l'aéroport. Je ne pouvais pas tourner le dos à tout cela d'un seul coup. J'avais saccagé toute la décoration et le mobilier qui ornait notre maison à Killingly, un soir où la rage m'a pénétré. Mais il y avait toujours une âme qui me retenait aux Etats-Unis. J'ai alors retiré mes chaussures et j'ai longé la côte les pieds dans le sable pendant plusieurs jours en perdant mon regard dans cette immensité océane où son corps avait été repêché. J'errai sur les plages jusqu'à m'arrêter à Oxtown. La ville n'avait rien de particulier; j'y ai simplement fait une halte plus longue. Quelle est votre plus grande peur et Quel est votre plus grand rêve + Je n'ai pas peur. Je ne pensais pas avoir peur. Jusqu'à l'annonce du crash de cet avion. Il y a eu cette période, ces quelques jours d'attente entre la médiatisation du drame et la reconnaissance par moi-même du corps inexplicablement froid de Reb's. Jusqu'à ce que j'entre dans cette partie de la morgue pour voir la table sur laquelle elle reposait inanimée, j'ai été pris de serrements partout en moi comme si on m'étouffait et voulait me priver de quelque chose. Je me refusais à le croire et je craignais que cela se produise réellement. La peur je l'ai découverte il y a peu. Même les menaces, à main armée, du temps de Miami quand je dealais ne m'intimidaient pour le moins du monde. Perdre Reb's était la pire chose qui aurait pu m'arriver, et mes craintes se sont transformées en désastre. Mon rêve ne se réalisera jamais. Les morts ne ressuscitent pas, je le sais malgré mes ancêtres mexicains très pieux. Je n'ai pas du tout choisi la même voix qu'eux, et je serai quoi qu'il advienne renié au Paradis pour tous les vices dans lesquels j'ai versé mon eau. Que tout ceci ne soit qu'un cauchemar est effectivement mon rêve. Mais malgré mon penchant pour les choses qui bousillent le radar dans notre cerveau, je sais reconnaître la réalité de la fiction. Elle ne reviendra pas. Je ne rêve plus. Je n'ai jamais rêvé. Si vous pouviez revenir en arrière, que changez-vous + Je changerai la date de départ de ce vol pour Londres, l'avion aussi. Je changerai les obligations professionnelles de Reb's, ses activités, ses fonctions dans la mode et tout ce qui l'a amené à prendre cet avion là ce jour là. Je changerais simplement ca. Le reste de ma vie a été fait de hauts et de bas qui ont toujours fini par me sourire. Jusqu'à cette explosion en février dernier. De quoi êtes-vous le plus fier + De rien. Je ne retiens aucune fierté de tout ce que j'ai entrepris, réalisé ou vécu. Au début de cette année, j'aurais encore pu dire que j'étais fier d'avoir réussi mes transitions dans la vie et d'être arrivé où j'étais arrivé. Mais la fierté a foutu le camp avec la mort de Rebekkah. Les deux se sont envolées en même temps.
Il se balade souvent pied nus, que ce soit à l'intérieur ou dehors, peu importe la saison. Ses pieds l'aident également à ramasser des petits objets (bics, feuilles, ustensiles, etc.) pour préserver sa colonne vertébrale. + Il utilise ses mains pour tout au quotidien; tellement les sensations qu'il peut éprouver se retrouvent toutes sous une certaine forme au contact de ses doigts. + Sa femme est devenue sex addict avec le trop plein de pression dans son métier de conseillère en mode. Avec le temps, elle a contaminé Jared dans son addiction. + Il a vécu tous les moments avec sa femme Rebbekah à fond, sans frein ni limites. Ensemble, ils repoussaient progressivement toutes leurs limites, leurs réticences et leurs craintes. Ils ont ainsi découvert la polygamie et l'échangisme, en plus des plaisirs plus intenses que beaucoup de gens ne connaitront jamais de leur vie car ils se limitent dans leurs relations. + Il a trompé une seule fois Rebekkah qui ne lui en a jamais tenu rigueur. La réaction de Reb's a changé beaucoup de choses dans leur couple, qui a connu un tournant supplémentaire pour atteindre les plafonds de la confiance entre eux deux. + Jared a recueilli sa nièce qui n'était pas heureuse avec ses parents, mais seulement à sa majorité alors qu'il lui avait fait la promesse de l'emmener avec lui quand il partirait de Miami - ce qu'il n'a pas fait puisque sa nièce était encore mineure. + A la suite de tests effectués quand il avait 25 ans, Jared a appris qu'il était stérile. Il est cependant resté indifférent en le découvrant.
Pseudo + Robbie Prénom + Rob's Pays/ville + Belgique/France âge + 26 Scénario ou Inventé + Scénario inventé Que pensez-vous du forum + Je l'épouse Fréquence de connexion + Quand l'autre tapette de canadien n'est pas là Voulez-vous un parrain + Non, ni même une nièce, j'ai déjà Autre chose à rajouter + Ally est là, alors non, c'est déjà parfait comme ca.
nous aider avec les codes
recenser votre avatar si personnage inventé.
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<pris>Julian Schratter +</pris> <min>Jared F. Kloss</min>
recenser votre nom et prénom (OBLIGATOIRE) Vous remplacez par votre prénom et votre nom de famille, supprimez les mentions inutiles.
Code:
<boy>Jared</boy>
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<q0>Kloss</q0>
Habitant de Oxtown
Jared F. Kloss
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Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Dim 19 Juin - 18:38
c'est l'histoire de ma vie
Sous le soleil de Floride (1988-2006) Miami c'était bien beau, tout le monde n'était pas gentil mais c'était la cour de récréation au propre comme au figuré. Une enfance classique, marquée par peu d'événements majeurs, sans idéaux ni déceptions cependant. Mes parents s'avéraient sympathiques et me permettaient certaines largesses que je n'ai jamais manqué d'abuser notamment lors des soirées organisées chez l'un ou chez l'autre. Je rentrais à pas d'heure alors que j'avais à peine quatorze ans, alors il fallait pas s'imaginer que j'allais continuer longtemps à suivre les sentiers battus. Doucement, j'ai gagné en assurance et je ne cachais rien à mes parents, pas même que je fumais de l'herbe et commençais à en revendre à même pas seize ans. J'étais également confiant quand je leur déclarais que je trainerais avec Lara plus longtemps à la fin de nos classes, que le souper pouvait m'attendre. Lara c'était la fille de la bande - même si nous n'étions pas vraiment une bande mais plutôt un trio ou un quatuor tout au plus -; la fille qui avait le monopole de mes bras quand nous étions calme à se partager un joint à la fin de l'après-midi. Elle et moi on était potes, même plus que potes, mais on ne se définissait pas, on en avait rien à cirer de ce que nous étions exactement. Just chill, on était beaux ensemble ca résumait tout nos moments à deux ou en groupe. En cours, j'avais la moyenne, ca me suffisait amplement. Il n'y a que les cours de maths qui m'intéressaient un tant soit peu puisque ca me permettait de ne pas me faire berner par les mecs à qui je refilais de la drogue le soir quand je sortais avec mon sac rempli de petits sachets qui étaient devenus mon gagne pain. Avant de retourner me coucher dans la nuit, je ne comptais même pas les liasses car le fric ne représentait pas la richesse mais plutôt la réussite totale de parvenir à mes fins dans ce que je réalisais comme chiffre dans des activités mal perçues par la loi. Je me contentais de les placer dans des boites sous mon lit. J'arrivais bientôt à une quatrième boîte, mais ma mère fourra son nez dans mes affaires et ce fut un premier tournant dans ma vie. Piqué au vif de constater l'intrusion dans mes affaires personnelles, par un parent trop curieux, je suis parti en vrille dès les premiers reproches qui m'ont été adressés. Ma mère ni mon père ne m'ont félicité pour les gains que je parvenais à me faire de mon propre chef, mais préféraient me pointer du doigt. Je détestais tant je ne comprenais pas après dix sept ans qu'ils pouvaient soudainement montrer un début de reconsidération éducative. Et ils remettaient le sujet au milieu de la table à chaque repas auxquels je n'apparaissais progressivement plus. Je me portais mieux à ne pas les voir que e les effaçais lentement de ma vie. Ca devait être de famille, car ma nièce elle non plus ne se sentait pas à l'aise chez ses parents. L'inconfort chez elle se répercutait davantage sur moi. J'ai pris des mois, surtout retenu par le fait que je n'étais pas majeur au moment du virage à cent quatre vingt degrés, pour finalement me décider à empaqueter le strict nécessaire minimum et quitter le domicile familial vers un avenir plus radieux. Enfin, j'avais Lara qui était restée dans les moments les moins évidents par rapport à mes parents, mais une distanciation s'est également placée au fil du temps et de mes sautes d'humeur. Je ne lui ai jamais dit au revoir, mais elle aura dû finir par le comprendre puisque je suis parti du jour au lendemain sans avertir personne. Fini l'autoritarisme revisité par le paternel après des années de défiance. Fini le job de dealer aussi. J'avais assez amassé pour partir sur un autre domaine qui me conviendrait.
You can't throw too much style into a miracle (2006-2016) Sans expliquer la raison de mon choix qui était celui-là plutôt qu'un autre, j'ai traversé la côté Est pour m'arrêter dans le Connecticut. J'aurais pu continuer à fond dans mon périple destiné à faire une croix définitive sur l'époque de Miami, mais je n'aurais jamais vu ni le Massachusetts ni le Maine ou le Vermont. La vie m'a alors souri puisque j'ai intégré l'équipe universitaire de baseball d'Eastern Connecticut State après une année sabbatique à accomplir des petits boulots qui m'ont permis de dénicher un logement entre Manchester et Providence. Le jour où je me suis perdu à Rhode Island après une soirée arrosée, j'y ai rencontré Rebekkah qui suivait un cursus en Fashion Design au Bay State College à Boston. A Providence nos deux courbes d'existence se sont croisées pour n'en faire plus qu'une : nos rencarts prenaient la forme de passion et de partages illicites. La tête d'abord, ce sont nos corps que nous avons ensuite envoyés en l'air dans un enivrement constant qui est devenu quotidien le jour où nous avons emménagés ensemble à Killingly, petite bourgade où une place de professeur de centre sportif m'avait été proposée. Voyant que j'avais reçu une réponse positive, je persévérais sur ma lancée en sollicitant la main de Reb's. M'insultant le temps de la réflexion, nous avons consommé un joint et consumé nos chairs avant qu'elle ne dise oui à plusieurs reprises. C'est le dernier, le plus calme prononcé de sa voix encore vibrante, qui scellait sa décision avant que se soient ses jambes qui se refermèrent à nouveau autour de mes hanches pour de nouvelles approbations plus saccadées. Les années de bonheur ont défilé, nos sorties se sont diversifiées et nous nous organisions de plus en plus avec Brendan, un de mes collègues au lycée où j'avais été nommé pour plus ne faire que du temps partiel au club de sports. Lui, sa femme, Reb's et moi entrions dans une autre dimension des sensations et nous nous laissions tous porter par nos pulsions. Ces moments là étaient de la pure apesanteur sur terre et nous prenions notre pied à deux cents pourcents. J'avais quitté l'illégalité pour entrer dans un monde de débauche après mes journées de boulot autour de la piste d'athlétisme. C'était une vie beaucoup plus reposante et relaxante que d'agir dans les trafics de drogues. Clairement.
Running from home (winter 2016) Les vacances de Pâques nous libèrent avec Brendan d'un fardeau et nous octroient deux semaines de congés que nous ne refusions pas même si nous n'avions pas exactement les mêmes définition de vacances. C'est censé être un mot à connotation joyeuse et pourtant il allait m'abandonner pour aller rendre visite à sa famille en Angleterre. Avec lui, il me confisquerait Rebekkah qui elle était appelée en Italie pour son boulot. D'une pierre deux coups, ils décollaient ensemble depuis l'aéroport de New Haven pour une escale à Philadelphie pui le grand saut jusqu'en Europe où ils passeraient une nuit à Londres en partageant la même chambre sans aucun tabou ni souci. Puis au réveil, Reb's poursuivrait son périple vers Milan. Le deal était tel : Lindsey - la compagne de Brendan - et moi passions une semaine ensemble pendant que mon partenaire extraprofessionnel veillait un premier temps sur Reb's avant qu'elle ne s'affranchisse comme elle était pleinement indépendante. Seulement, rien ne s'est déroulé comme imaginé. Un soir, des informations dans un bar attirèrent l'attention de tout l'établissement choqué d'apprendre la nouvelle : un avion s'était écrasé en mer dans la baie du New Jersey. Je n'ai jamais été quelqu'un passionné par les médias et les systèmes de communication; c'est dire si j'utilisais à peine mon téléphone portable une fois par semaine. Cependant je n'étais pas indifférent à ce flash spécial dont j'entendais des segments. L'avion provenait de New Haven qu'il avait quitté la veille. Ca parlait de Philadelphie et d'Europe, de jeunes passagers. Mon inconscient faisait bien le lien mais je ne m'autorisais pas à le croire ni à me persuader des faits qui me seraient indéniables une semaine plus tard quand je me suis rendu à la morgue pour reconnaître le corps de Reb's. Tout mon monde s'est écroulé, désintégré en ruines. J'étais dévasté, je n'assurais plus aucun cours ni à l'université ni au lycée où une enquête avait été ouverte à mon encontre pour avoir violenté un gamin de quatorze ans en 2015. Survivre me devenait insurmontable, sans Rebekkah qui était tout ce que j'avais dans ma vie. Adossé dans le hall de notre demeure qu'on avait choisie et payée ensemble, dont on avait découvert tous les recoins ensemble, où nous avions le mélange de nos parfums sans cesse en suspens dans une ambiance aussi nébuleuse qu'attractive. Je me suis laissé glisser le cul par terre pour ne pas y bouger pendant des jours et me morfondre. Puis un jour j'ai littéralement explosé: j'ai empoigné la batte de baseball dans un coin du salon et j'ai tout démol. J'ai tapé de rage dans tout ce qui se trouvait sur mon passage entre le corridor et la cuisine. Le verre de Lindsey, sur le bureau du living room où nous nous étions consolés ds absences de nos êtres les plus chers, a volé en éclat au premier mouvement frénétique que j'abattais dans les airs. Telle une tempête, j'ai dévasté le cocon que nous avions bâti. Les nerfs emportés, je m'effondrais sur le carrelage, tête la première, des larmes inondant les larges carreaux en granit. Je n'avais jamais pleuré de ma vie. Jamais en 27 ans.
Stay alive, I will find you (summer 2016) Le meilleur est désormais derrière moi. Je sais que rien de tout ce qui m'arrivera n'égalera jamais tout ce que j'ai vécu avec Rebekkah et qui n'est plus désormais représenté qu'à travers l'alliance que je porte à la main droite. J'ai longé la côte Est en passant par Philadelphie où je ne suis pas parvenu à m'arrêter. Je ne voulais pas y faire la moindre halte, je voulais poursuivre vers l'avant. Mais devant moi c'était la Floride; pas le début de ma vie, mais un chapitre précédant la véritable histoire à retenir de mon existence. Je ne souhaitais pas revenir si loin en arrière. Norfolk, Virginie, un aéroport reconnu pour son taux de fréquentation. Un accès direct à l'océan. Quelque part au loin avait chuté un ange pour périr noyée. Je me jetais à l'eau pour la ramener à moi.
Habitant de Oxtown
Troy Newton
❝ Messages : 237 ❝ Points : 28 ❝ A Oxtown depuis le : 13/05/2016❝ Age : 34 ❝ Cupidon : Il semble ne pas me connaître encore... ❝ Enfant : Non pas encore ❝ Habitation : Eastview dans un petit mais confortable appartement. ❝ Avatar : Liam Aiken ❝ Crédits : Lyra
Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Dim 19 Juin - 18:54
Re-Bienvenue à la maison Jared.
Membre du Mois
Zoelya Nightingale
❝ Messages : 105 ❝ Points : 51 ❝ A Oxtown depuis le : 01/06/2016❝ Age : 36 ❝ Cupidon : Célibataire pour le moment ❝ Enfant : Pas d'enfants pour le moment ❝ Habitation : Centre ville avec Island mon chien ❝ Avatar : Camilla Luddington ❝ Crédits : sweet nothing
Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Dim 19 Juin - 22:12
Re-Bienvenue ! Bonne continuation pour la suite
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Invité
Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Dim 19 Juin - 23:56
Bienvenue monsieur le président mais un truc me chiffonne, Oswald n'est pas censé vous avoir tué en 62 ?
Habitant de Oxtown
Ally Thomas
❝ Messages : 241 ❝ Points : 91 ❝ A Oxtown depuis le : 15/05/2016❝ Age : 41 ❝ Cupidon : Depuis bientôt unan, mon corps ne bat plus que pour une seule personne mais j'ai mis de trop de temps avant de m'en rendre compte. Il est devenu mon âme soeur. ❝ Enfant : Un petit garçon ou plutôt un adolescent nommé Théo qui est apparu dans ma vie. Aujourd'hui il est retourné en France pour ses études mais vient passer ses vacances ici. ❝ Habitation : En plein centre ville avec mon chien et Théo qui s'installe un peu trop. ❝ Avatar : Sophia Bush ❝ Crédits : .cranberry
Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Lun 20 Juin - 0:08
Le mec qui voue une culte à celle qui l'accuse. Monsieur Kloss, ravie de vous revoir
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Invité
Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Lun 20 Juin - 10:43
Re-bienvenue
Brittany : mais non ! Il était caché sur une île avec Michael Jackson et Marilyn Monroe ... pardi !
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Jared F. Kloss
❝ Messages : 122 ❝ Points : 95 ❝ A Oxtown depuis le : 19/06/2016❝ Age : 36 ❝ Cupidon : Amour éphémère; 10 ans réduits en cendres. Alors, arrête de viser la lune Cupidon, tes flèches atteignent les avions. ❝ Enfant : Conception impossible depuis un dépistage ❝ Habitation : Southwood n°131 ❝ Avatar : Julian Schratter ❝ Crédits : mistakenQUEEN
Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Lun 20 Juin - 13:46
Merci à tout le monde
Britanny, c'est bien possible. 62 ne m'a jamais réellement marqué. Après, j'ai tué beaucoup de personnes en 69 ou en 96, je ne sais plus où j'ai la tête peut être j'inverse.
Mademoiselle Thomas, vous faites durer là. Vous me passez les menottes quand ??
Habitant de Oxtown
Ally Thomas
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Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Mar 21 Juin - 22:58
Pour ça, faut voir avec mon compagnon qui est officier de police :roll:
Histoire forte intéressante en tout cas.
Habitant de Oxtown
Jared F. Kloss
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Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Mer 22 Juin - 9:51
L'histoire n'a pas changé Miss Thomas; et vous non plus pour le grand plaisir de ce bas monde.
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Ivanna D. Robinson
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Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Jeu 23 Juin - 16:36
Félicitation Jared
Déjà rebienvenue, je pense que j'ai pas besoin de te faire le pitch tu connais la maison. J'adore ton histoire, la façon dont tu l'as écrite, et tu l'as deviné je te valide avec plaisir
Tu peux dès à présent découvrir les merveilles que renferme le forum ainsi que sympathiser et délirer avec les autres membres si ce n'est pas déjà fait ! Cependant afin de ne pas te lâcher complètement dans la nature, voici quelques liens qui te permettront de t'y retrouver ! Tout d'abord si tu ne l'as pas encore fait, je te conseille d'aller jeter un petit coup d'oeil au règlement, c'est toujours bien de savoir à quoi on a à faire ! Ensuite nous pensons que tu ne vas pas vivre sous les ponts, donc files faire une demande de logement et après va recenser ton métier. C'est toujours bien de savoir où notre personnage va travailler ! D'ailleurs si tu as besoin d'un baby-sitter, d'un colocataire ou que sais-je encore, tu peux faire un tour aux petites annonces, ça peut être très utile !
Mais bon je suis sûre que tu es surtout impatient(e) de créer ta fiche de liens pour te faire des amis ! Sur, CYD nous avons mis en place deux fiches de liens, il y en a une bien détaillée et l'autre un peu moins, nous espérons que cela aidera dans la recherche de liens.. D'ailleurs il se peut que tu ais besoin de personnes particulière, comme ta moitié ou ta grande tante qui fume comme un pompier ? Il faut les créer dans les scénario en construction et une fois fini tu n'auras qu'à me le faire savoir pour que je puisse mettre ton scénario au bon endroit. Penses aussi à avoir le bon nombre de point car si tu crées un scénario, 50 points te sont enlevé. Si tu n'as pas forcément besoin de créer un scénario, mais il faut absolument que ton patron pervers ou que la belle-soeur de ton meilleur ami débarquer, c'est un lien prédéfini qu'il faut que tu crées. Dans tous les cas, j'espère qu'ils seront pris bientôt ! Après si l'envie de RP est présente je t'invite aussi à aller dans ce sujet. Tu pourras peut-être trouver des personnes qui ont besoin d'un partenaire ou tu peux aussi en demander un ! Ensuite, quand tu auras des rps par milliers, pour ne pas les oublier, tu peux les mettre dans ton profil. Sinon tu peux les poster dans les Topics. Que te dire d'autre ? Je te recommande vivement le flood où l'on s'amuse comme des petits fous & de passer sur la ChatBox pour rigoler un petit peu ! Sinon pour toutes tes demandes, de lieux ou de rang c'est à la préfecture qui faut se rendre. Surtout, n'ais pas peur de faire le petit curieux et va voir un peu partout dans le forum.
Et une dernière chose, amuses-toi bien avec nous
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Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Ven 24 Juin - 13:49
Re-bienvenu par ici petit fou Amuse toi bien avec ce nouveau perso haut en couleur
Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Ven 24 Juin - 19:29
ReBienvenue ! Eclate toi bien
Habitant de Oxtown
Jared F. Kloss
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Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Ven 24 Juin - 22:00
Merci la petite fausse blonde adorable (enfin ca dépend hihu) Merci la soeur mega sexy de la fausse blonde ! Et puis merci Madame Carpenter. Eclaté, je le suis déjà pas mal pour ne rien cacher.
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Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent. Sam 25 Juin - 21:04
Bienvenu excellent avatar
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Sujet: Re: JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent.
JFK - La différence entre un président, un avion et un malheur ? Aucune. Les trois s'abbattent.
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