Kyle ∞ Everybody deserves a second chance

Nom + Miller. Il s’agit en fait du nom de famille de ma mère. Mon frère et moi avons pris la décision ensemble de changer notre nom au moment du décès de notre mère pour ne pas être obligés d’avoir affaire à notre paternel plus longtemps, ou du moins, ne pas s’en rappeler. Prénoms + Kyle Seth. Voilà des noms bien courts que mes parents m’ont donné là. Franchement, je n’ai jamais pris le temps de me poser la question et cela n’affecte pas vraiment ma vie.  Surnoms + Kyle, c'est assez court comme ça. âge + Vingt-six ans. Date de naissance + Douze avril mille neuf cent quatre-vingt-dix. Lieu de Naissance + Los Angeles, Californie, USA. Nationalité + Américaine. Origines + Américaines. Activité + Policier. Pour le moment, je suis au stade de simple patrouilleur et ça me va très bien comme ça. Peut-être saurais-je graver les échelons un jour ? Je ne suis pas complètement fermé à l’idée, mais pour le moment, je ne me plains pas de mon statut, même si j’avoue que parfois, passer des journées entières à attendre que quelque chose se passe, c’est un peu long. Situation Financière + Suffisante pour payer les factures. Je ne baigne pas dans la richesse, mais je n’ai jamais su ce que c’était, alors je ne m’en fais pas nécessairement. Tant et aussi longtemps que je peux faire vivre ma famille, cela me convient parfaitement.  Orientation Sexuel + Marleysexuel Hétérosexuel. Statut Civil + Marié à Marley depuis le mois de juillet 2013.  Enfants + Une fille, Amy, qui a maintenant neuf ans et bientôt, un petit garçon. Date d'arrivé + Mai 2010. Quartier résidentiel + Westover. Avec qui vivez-vous + Marley & Amy. Groupe + Les Rationnels. Avatar + Alex Pettyfer.


Pourquoi vivez-vous à Oxtown ? Aimez-vous cette ville + Aux premiers abords, Oxtown était pour moi une ville comme une autre. Je me suis installé en ces lieux parce que c’était la ville la plus proche de la base militaire où mon frère venait d’être muté et qui nous permettait d’avoir une maison à un prix raisonnable. Puis, je dois admettre que j’ai appris à aimer cet environnement, bien différent de ce que j’ai connu précédemment. Aujourd’hui, je ne me verrais pas vraiment vivre autre part. Marley et moi avons établi notre vie de famille en ces lieux. Cette ville représente maintenant ma seconde chance, que je compte bien continuer à prendre en considération et faire le mieux que je peux. Quelle est votre plus grande peur et Quel est votre plus grand rêve + Ma plus grande peur serait de perdre un membre de ma famille. Pas mon père, lui, je m’en fiche. Je m’en fiche également de mes oncles et tantes, ceux-ci n’ont jamais été là pour nous quand nous en avions besoin. Par famille, je parle de mon grand frère, mais surtout de ma femme, de ma fille, et bientôt de mon fils. Ils sont à présent toute ma vie, je veux prendre soin d’eux autant que je le peux. Évidemment, je veux les rendre heureux aussi. Plus encore, je rêve de pouvoir les emmener tous en vacances, découvrir Walt Disney World, en Floride avec eux, et permettre aussi à Amy de nager avec les dauphins, comme elle souhaite tant le faire, selon ce qu’elle m’a dit. Pour le moment, je me contente de lui payer des cours de natation et y assister quand je peux, mais après la naissance du bébé, j’espère pouvoir mettre un peu d’argent de côté à chaque paie, histoire de rassembler les fonds nécessaires pour ces vacances. Mais pas simplement un truc de base, le meilleur qui soit. J’espère pouvoir y arriver un jour, je ferai tout pour en tout cas. Si vous pouviez revenir en arrière, que changez-vous + Je changerais pour sûr l’adolescent que j’étais à l’époque. Cet adolescent qui n’a pas réfléchi suite à la mort de sa mère, qui a tenté tant bien que mal de se former une carapace en se cachant sous un équipement de football, qui a brisé le coeur d’une fille bien sans aucune raison valable. Si je pouvais revenir en arrière, pour sûr que je ne laisserais pas tomber Marley. J’enverrais promener ceux qui m’ont fait ce stupide pari. Je ne sais pas si cela aurait changé ma carrière, peut-être que je ne me serais pas blessé, peut-être que j’aurais eu une carrière de joueur de football, mais au moins, je ne serais pas resté loin de ma fille et du bonheur qu’elle m’apporte pendant un an. Inutile de mentionner que je suis plus qu’heureux que les choses se soient arrangées aujourd’hui. De quoi êtes-vous le plus fière + Dans l’ensemble, je dirais que c’est d’avoir fait de ma vie quelque chose d’acceptable. Vu les circonstances dans lesquelles j’ai grandi, avec ce paternel que je détestais et ma mère qui est partie trop tôt, j’aurais très bien pu sombrer bien loin et ne jamais m’en relever. Évidemment, je ne nie pas le fait que j’ai eu de l’aide, d’abord de mon frère, puis de Marley, puisque c’est grâce en sa confiance que j’ai pu aller de l’avant. Je ne dis pas non plus que j’ai une vie enviable de tous, mais je suis content d’avoir une vie stable, avoir une famille que j’aime et que je ne compte pas quitter de si tôt, voire jamais, et ce, sans me poser de questions. Je suis fier d’avoir une vie qui me plait, et je ne la changerais pour rien au monde.

Il m’arrive encore d’avoir un comportement de grand gamin parfois, mais je crois que je suis quand même responsable, surtout lorsqu’il est question de mon boulot et ma famille. En gros, je pense que je suis en mesure d’avoir un bon équilibre entre les deux. + Si je suis rempli d’assurance et plutôt téméraire, voire casse-cou, je suis peu confiant et bien maladroit quand vient le temps d’être romantique. Je suis du genre à avoir de bonnes intentions, mais de ne pas les appliquer correctement. Par exemple, je suis capable d’acheter un bouquet de fleurs, mais prendre celles qui font éternuer. - Je sais que c’est ironique puisque je représente l’ordre, mais je n’aime quand même pas qu’on me dise quoi faire. C’est un trait de caractère que j’ai conservé de mon adolescence. C’est pourquoi j’aime bien travailler seul quand cela est possible, je me sens moins restreint. - Être père d’une petite fille m’a permis de développer mes capacités à coiffer Amy. Je ne dis pas que j’ai les qualités pour devenir coiffeur, mais je crois que je me débrouille plutôt bien. - Même si je n’ai pas pu atteindre mon rêve de devenir joueur de football américain, je n’ai pas cessé d’aimer le sport pour autant. Je regarde régulièrement les matchs à la télévision et j’aimerais bien entraîner une équipe lorsqu’Amy sera au collège, puis peut-être celle de mon propre fils plus tard, qui sait ? - Si je suis patrouilleur à moto, c’est mon choix. C’est parce que je n’aime pas être enfermé. Si j’ai acheté une voiture, c’est parce que je sais que je dois en avoir une pour mes enfants. Autrement, je me promène toujours à moto. - Je suis un policier « cliché » dans le sens où j’aime bien le café et les donuts, plus particulièrement ceux qui proviennent de la pâtisserie où Marley travaille. - J’ai tendance à craquer sur les vêtements de bébé. J’en ai acheté plusieurs de mon propre gré depuis que Marley est de nouveau enceinte.

« Nate ? Qu’est-ce que tu fais ici ? » J’avais pas vu comment accueillir mon frère autrement, tout simplement parce que c’était la première fois depuis le début de ma scolarité que je le voyais devant l’école, à m’attendre comme un parent poule qui veut s’assurer que son enfant rentre à la maison sain et sauf sans se faire kidnapper par un quelconque pervers. Personnellement, j’étais de ceux qui rentraient normalement seul de l’école depuis un bon moment maintenant, et cela ne m’avait jamais gêné. De ce fait, il était particulièrement étrange de voir mon aîné, Nathan, ici, surtout que depuis le début de l’année scolaire, je ne l’avais pas vu une seule fois, vu le temps que l’académie militaire lui prenait, à un tel point que plus souvent qu’autrement, il restait dormir chez son meilleur ami plutôt que de rentrer à la maison, vu la distance qu’il y avait entre West Point et la demeure familiale. Bien sûr, il y avait d’autres raisons, mais on n’en parlait pas, c’était trop délicat. « Eh bien, je voulais te faire une surprise. » Ceci était un argument potentiellement valable, mais qui ne fut pas suffisant pour me convaincre. La preuve de cela fut le fait que je fronçai les sourcils, l’obligeant alors à ajouter « Ça te dirait qu’on aille se faire quelques passes dans le parc ? » Ce n’était pas une vraie réponse, mais du haut de mes quatorze ans, ambitieux d’entrer dans les ligues professionnelles dès que possible, je ne dirais jamais non à un entraînement supplémentaire, et ça, Nathan le savait. Finissant par acquiescer, nous nous rendîmes dans ce fameux parc. Mon frère sortit un ballon de sa voiture, puis nous commençâmes à jouer, mais bien rapidement, je me rendis compte que son regard était sombre, triste, comme s’il tentait de me cacher quelque chose. Après avoir attrapé le ballon au bout de longues minutes et nombreuses passes, je finis par en avoir assez, puis je dis : « Bon Nate, ça suffit. Dis-moi ce qui se passe. Pourquoi on ne rentre pas juste à la maison ? » « Parce qu’on ne peut pas. » Sans que je le veuille vraiment, je haussai le ton, puis insistai « Pourquoi ?! » « Parce qu’on ne peut pas y entrer. » « Merde Nate ! Arrête de tourner autour du pot et dis-moi ce qui se passe bordel ! » « Maman est morte ! » Ces trois mots eurent l’effet d’une véritable bombe, à un tel point que le ballon tomba de mes mains, et je reculai de quelques pas, le visage complètement décomposé. « Elle a fait une overdose cet après-midi… C’est papa qui l’a trouvé dans la salle de bains… » À la mention de notre paternel, je serrai les poings. Ma tristesse et mon choc se transformèrent progressivement en haine et en colère contre lui, tellement que tout ce que je pus dire, ce fut : « Je vais le tuer… Je te jure que je vais le tuer… » « Kyle, dis pas… » « C’est sa faute si elle a fait ça ! Sa faute ! Ne me dis pas qu’elle avait des problèmes, le seul problème, c’était lui ! » Les larmes me montèrent aux yeux, j’en tremblais, et à ce moment, mon frère ne sut que faire que de me prendre dans ses bras, puis me laisser pleurer, parce que c’était la seule chose que je pouvais faire actuellement, sachant que rien ni personne ne pourrait faire quoi que ce soit pour moi de toute façon, pas en ce moment, ce moment qui venait de briser ma famille et la ruiner à tout jamais.

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« Il faut lui donner de la morphine, il ne tiendra pas le coup comme ça jusqu’à l’hôpital. » Heureusement que ces mots ne m’étaient pas adressés, puisque pour tout dire, je n’en avais pas compris la moitié, beaucoup trop concentré à ne pas hurler et pleurer de douleur tant mon genou me faisait souffrir. Jamais, au grand jamais, je n’avais eu aussi mal de toute ma vie. C’était à un tel point que je ne saurais même pas décrire ce qui se passait dans ma tête, comment je pourrais expliquer comment le mal se propageait. Tout était flou dans mon esprit parce que nombreuses choses se bousculaient dans celui-ci; l’accident, la douleur, le départ à l’hôpital, voilà les premières choses qui me vinrent en tête, tout simplement parce que c’était ça le plus récent, le plus frais dans ma tête. L’accident, il n’y avait probablement pas plus bête. En plein milieu du match, ce dernier match que j’allais disputer au lycée, celui qui me permettrait d’avoir finalement cette bourse d’études pour aller à UCLA que je convoitais tant, autant pour avoir un avenir dans ce que j’aimais faire pour aller à l’autre bout du pays, le plus loin possible de mon père, un adversaire m’était sauté dessus et mon genou avait pris une tournure que je ne saurais décrire. Ce que je savais seulement, c’était que j’étais en ambulance, direction l’hôpital, et le « Préparez le bloc opératoire, il faut l’emmener directement en chirurgie. » de l’ambulancier me fit comprendre que clairement, ce n’était pas qu’une entorse banale. J’avais déjà entendu parler de ce genre de blessure, et chaque fois, elles revenaient au même; une carrière sportive n’était pas envisageable. En gros, tout ce pour quoi je m’étais battu pendant tout ce temps venait d’être foutu en l’air en l’espace de quelques secondes. Je n’avais plus rien, plus aucun but, aucune ambition dans la vie. Pire que cela, je n’avais plus personne, plus depuis quelques mois maintenant, depuis que j’avais laissé Marley pour respecter ce pari que je trouvais maintenant plus que stupide. Au début, ça me semblait la chose à faire, mais ici, et maintenant, dans cet ambulance, je me rendais compte que ce n’était pas ce que je voulais, qu’en abandonnant cette jeune femme de qui je m’étais épris de même que son enfant, notre enfant, je n’avais en rien provoqué mon père, je m’étais montré comme lui, voire pire que lui. Ne pouvant que penser à cela, qu’à elle, je ne me rendis même pas compte de mon arrivée à l’hôpital, puis dans le bloc opératoire. Tout ce que je sus, c’est qu’on me posa un masque sur le visage, puis la dernière chose que je sentis avant de m’endormir, ce fut une larme de regret et de tristesse rouler sur ma joue, faute de pouvoir en laisser couler davantage dans ce moment qui était probablement le pire de ma vie.

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Mon livret de résultats dans une main, je commençai à marcher vers la voiture avec un sourire niais au lèvres, mais avec une certaine contenance que je perdis soudainement dès que je fus dans le véhicule, me laissant aller dans un cri de joie et une petite danse, si je pouvais le décrire ainsi, qui fit par un coup de klaxon involontaire qui fit en sorte que je sursautai, me calmai un peu, sans toutefois perdre ce fameux sourire. J’avais réussi, j’avais finalement réussi cet examen de l’académie policière. D’ici quelques semaines, je serais assermenté, puis je commencerais à travailler au commissariat tout près de notre domicile. Pour une personne qui m’aurait connu il n’y a pas si longtemps, apprendre que j’étais maintenant policier serait complètement absurde, vu que j’étais toujours le premier à défier les règles, mais ça, je m’en moquais. Ce que cela signifiait pour moi surtout, c’était que j’avais finalement un travail stable, qui allait rapporter, et je pourrais soutenir ma famille autrement que par mon simple emploi à mi-temps dans cette boutique de sport. Pour ça, je ne pouvais pas être plus heureux. Finalement, j’avais accompli quelque chose de bien, et pour une fois, je sentais que je pourrais avoir une vie stable, être responsable, me prouver à moi-même et non aux autres que j’étais capable d’être un homme bien. Ce n’était pas rien, et franchement, il fallait que je souligne l’occasion, en grand. Je pensai pendant un instant à aller prendre une pizza, la préférée d’Amy, mais je me rendis compte qu’il fallait beaucoup plus que cela. Prenant la route vers la demeure, je me mis à y réfléchir à toute vitesse, puis je trouvai ce que j’allais faire au moment oú je passai devant une bijouterie. Voilà ce que j’allais faire, j’allais demander à Marley de m’épouser, pour lui montrer que je n’allais plus jamais faire de bêtise, que je tenais réellement à elle, à notre famille, cette famille qui était maintenant devenue la mienne et dont je ne saurais me passer. Me garant grossièrement devant le commerce, je m’empressai à entrer, ayant constaté que celui-ci fermait sous peu. Ce ne fut pas plus mal, parce que j’eus le vendeur à moi seul, et de ce fait, je pus choisir la plus belle bague pour ma petite-amie, qui, je l’espérais sincèrement, deviendrait ma fiancée d’ici quelques heures, parce que ma demande ne se ferait pas attendre, surtout pas dans l’état que j’étais, c’était sûr et certain.

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« Viens, c’est moi qui régale ce midi. » J’eus un petit rire, sachant déjà à quel endroit nous allions prendre ce fameux déjeuner; dans un stand de hot dogs non loin de la plage. Pourquoi ? Parce qu’en quatre mois de travail avec la même personne, j’avais appris que c’était son endroit préféré, et surtout le plus abordable pour un « déjeuner de qualité » même s’il n’y avait pas grand-chose de très gourmet dans un hot dog et une frite. Cependant, je m’en moquais bien. J’étais de bonne humeur, et ce n’était pas une malbouffe qui allait changer cela, surtout que, je n’allais pas le cacher, la vue de ce hot dog que le marchand prépara dès que nous fûmes sur place me fit saliver, puis finalement dire dans un petit rire : « Heureusement que ma femme ne voit pas ça, elle sauterait dessus. » Je ne me montrais pas méchant envers Marley dans ce commentaire, mais pas du tout. En fait, je trouvais cela juste mignon de la voir avoir de ces envies terribles de nourriture, compte tenu qu’elle était enceinte de quelques mois maintenant. Et moi, l’idiot, j’avais raté cela pendant sa première grossesse. Le bébé qui bouge, son ventre qui s’arrondit, les rendez-vous chez le médecin, ce genre de chose qui pouvait paraître bien routinière me faisait plaisir à voir et me rendait encore plus impatient d’être père une nouvelle fois, même si en fait, il n’y avait pas de raisons que je ne le sois pas, surtout pas après la nouvelle que nous avions eue la veille. « Parlant d’elle, comment elle va ? Ça a été, le rendez-vous hier ? » Pour toute réponse, un sourire complètement idiot apparut sur mes lèvres au souvenir de la veille. En effet, j’avais pris congé pour aller à l’échographie qui nous annonçait le sexe du bébé. Je savais bien que qu’importe le résultat, j’allais être heureux, mais au fond de moi, je voulais réellement avoir un garçon. Pourquoi ? Parce que j’en mourrais d’envie, et j’avais été exaucé. « Quoi ? » « Rien, rien… » « Te fous pas de ma gueule Miller ! Allez, crache le morceau ! » J’eus un petit rire, ce qui me valut une tape amicale de la part de mon partenaire, et finalement, je lui dis : « C’est un garçon. Je vais avoir un petit mec. » Mon sourire s’élargit, puis je dus me retenir de commencer à danser et courir partout, un peu comme je l’avais fait quand Marley m’avait apprise qu’elle était de nouveau enceinte, ou même la veille. J’avais souvent de ces envies ces derniers temps, mais pour tout dire, cela ne me gênait pas plus que ça. Cela était simplement signe que j’étais plus heureux que jamais, et que franchement, rien ni personne ne pourrait venir altérer ce bonheur qui était le mien et qui me donnait la vision d’un avenir on ne peut plus exceptionnel à ce moment précis, me faisant tout oublier ce que j’avais pu vivre pour me concentrer sur le présent en préparant le futur, ce futur avec mon travail, mais surtout ma femme, ma fille, et ce fils que nous aurions d’ici quelques mois. Les choses ne pourraient pas être plus parfaites que ça.

Déjà je te souhaite la bienvenue sur le forum ! Et j'adore ton histoire *-*, particulièrement quand il se comporte comme un papa poule et sa réaction quand on parle de la grossesse de Marley

Tu peux dès à présent découvrir les merveilles que renferme le forum ainsi que sympathiser et délirer avec les autres membres si ce n'est pas déjà fait ! Cependant afin de ne pas te lâcher complètement dans la nature, voici quelques liens qui te permettront de t'y retrouver ! Tout d'abord si tu ne l'as pas encore fait, je te conseille d'aller jeter un petit coup d'oeil au règlement, c'est toujours bien de savoir à quoi on a à faire ! Ensuite nous pensons que tu ne vas pas vivre sous les ponts, donc files faire une demande de logement et après va recenser ton métier. C'est toujours bien de savoir où notre personnage va travailler ! D'ailleurs si tu as besoin d'un baby-sitter, d'un colocataire ou que sais-je encore, tu peux faire un tour aux petites annonces, ça peut être très utile !

Mais bon je suis sûre que tu es surtout impatient(e) de créer ta fiche de liens pour te faire des amis ! Sur, CYD nous avons mis en place deux fiches de liens, il y en a une bien détaillée et l'autre un peu moins, nous espérons que cela aidera dans la recherche de liens.. D'ailleurs il se peut que tu ais besoin de personnes particulière, comme ta moitié ou ta grande tante qui fume comme un pompier ? Il faut les créer dans les scénario en construction et une fois fini tu n'auras qu'à me le faire savoir pour que je puisse mettre ton scénario au bon endroit. Penses aussi à avoir le bon nombre de point car si tu crées un scénario, 50 points te sont enlevé. Si tu n'as pas forcément besoin de créer un scénario, mais il faut absolument que ton patron pervers ou que la belle-soeur de ton meilleur ami débarquer, c'est un lien prédéfini qu'il faut que tu crées. Dans tous les cas, j'espère qu'ils seront pris bientôt ! Après si l'envie de RP est présente je t'invite aussi à aller dans ce sujet. Tu pourras peut-être trouver des personnes qui ont besoin d'un partenaire ou tu peux aussi en demander un ! Ensuite, quand tu auras des rps par milliers, pour ne pas les oublier, tu peux les mettre dans ton profil. Sinon tu peux les poster dans les Topics. Que te dire d'autre ? Je te recommande vivement le flood où l'on s'amuse comme des petits fous & de passer sur la ChatBox pour rigoler un petit peu ! Sinon pour toutes tes demandes, de lieux ou de rang c'est à la préfecture qui faut se rendre. Surtout, n'ais pas peur de faire le petit curieux et va voir un peu partout dans le forum.